Julian Vogel explore les points de rencontre entre cirque et céramique. D’abord jongleur, il a commencé par manipuler des objets en argile, notamment des diabolos, pour en tester les limites physiques et scéniques. Une manière ludique d’introduire fragilité et tension dans sa pratique.
Dans ce solo, il met en scène une série de déséquilibres : assiettes chinoises, balanciers, céramique en mouvement, rollers… Tout est prétexte à jouer avec la gravité. Il assure également la machinerie, la lumière et la musique, brouillant les frontières entre les rôles et les disciplines.