Vale Poher, Titus d’Enfer et Malik Djoudi

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Date(s) :  du 2 mars 2018 au 2 mars 2018
Horaire(s) :  20h30

VALE POHER
C’est au cours d’un voyage en solitaire sur la côte ouest américaine que Vale Poher pose les bases de son nouveau projet. Seule au moyen d’un simple ordinateur, elle décide de remettre en question sa manière de composer en utilisant uniquement des instruments synthétiques. Inspirée par l’électro minimale, avec des textes en français et en couleur, elle rêve de grands espaces, de road movies et de Technicolor. La BO de son épopée est inspirée par Michael Cimino, Joan Didion, TS Eliot, John Talabot ou encore Etienne Daho.

Vale Poher est guitariste / chanteuse dans le groupe Mensch. Le duo a sorti deux albums , Mensch en 2012 et Tarifa en 2015 chez Tsunami-Addiction/ Modulor. Vale Poher collabore régulièrement avec d’autres musiciens comme Mansfield Tya, Maissiat ou encore Doctor Flake. Elle a également composé la musique de deux films de Vergine Keaton : Je criais pour la vie. Ou contre elle et Marzevan en 2015. Elle travaille aussi régulièrement avec l’artiste Saâdane Afif depuis 2007 autour de l’installation Blue Time vs Suspense.

TITUS D’ENFER
Le premier EP éponyme de Titus D’Enfer résume l’univers singulier du chanteur et producteur français : un assemblage de rythmes mécaniques, d’harmonies délicates et de paroles détraquées au service d’une pop désaxée et épique. Titus d’Enfer galope dans un univers fantasque et coloré, entre Klaus Nomi, Animal Collective et Brigitte Fontaine. Sur cet EP, Titus d’Enfer assurent voix, clavier, carillon et paroles. Il est accompagné de Yann Daniel (guitare, saxophone), Sylvain Biguet (percussions) et Thibaut Aguir (contrebasse).

MALIK DJOUDI
Après avoir composé pour la publicité, le cinéma, la danse et le théâtre, ce poitevin autodidacte de 37 ans fait le grand saut dans la pop francophone, imposant une touche sensible et vibrante qui n’appartient qu’à lui. Ni vraiment musique de club, ni simplement variété française, les huit compositions de son premier album sobrement nommé « UN » révèlent un romantisme de dandy pas trop sûr de lui, une voix qui flotte dans les airs tout près de Connan Mockasin, une sourde intensité mélodique et une intimité dont seul James Blake semblait détenir le secret.