SAGA FIRE OF EMOTIONS NIAGARA 3000 & MALEDIZIONE

[ Pamina de Coulon ]
Création 2025
Date(s) :  du 18 novembre 2025 au 29 novembre 2025
Horaire(s) :  mar. au ven. à 20h30, sam. à 19h30 Cabane • Durée 1h15
Recherche, écriture, conception et jeu : Pamina de Coulon
Décor : Pamina de Coulon & Alice Dussart
Production : Bonne Ambiance
Diffusion : Sylvia Courty - Boom'Structur
Co-production : Arsenic - Centre d’art scénique contemporain, Lausanne ; CCAM Vandoeuvre lès Nancy
Durée :  1h15

Chevelure de feu, regard acéré, elle ne vous lâche pas d’un iota. Paina de Coulon n’a pas sa langue dans sa poche. Dans se saga FIRE OF EMOTIONS l’autrice et performeuse suisse déploie une pensée en perpétuel mouvement pour traverser des questionnements politiques et philosophiques sur le rapport des humains au temps avec un goût prononcé pour la déhierarchisation des savoirs.

L’action ici, c’est la parole, le mouvement de la parole vers autrui ; et son énergie inextinguible.

NIAGARA 3000 (2023)

Après le cosmos ou la planète, elle s’intéresse, dans NIAGARA 3000, à l’eau. De la force hydraulique des larmes aux turbines du futur, des retenues et barrages aux deltas où tout se rencontre, l’artiste chemine avec nous, de digression en digression, sur les sentiers de sa pensée. Loin de s’éparpiller, elle tient le cap de son raisonnement militant et très documenté. Rebondissant ici sur une lecture, ouvrant là une parenthèse enflammée, Pamina de Coulon ne ménage pas ses efforts pour assouvir son irrépressible besoin de transmettre.

MALEDIZIONE (Création 2025)

Voici le nouvel épisode du cycle labyrinthique proposé par l’artiste suisse Pamina de Coulon depuis 2014. Du cosmos à l’océan, en passant par la terre, les larmes, la honte et le vent, la performeuse partage avec nous des questionnements en cascade, avec humour, lucidité politique et un engagement sans faille.

Dans ce nouvel opus, Pamina de Coulon pose une question inattendue mais centrale : Pourquoi le Moyen Âge revient-il si fortement dans nos imaginaires et nos modes de vie ? À partir de là, elle tisse des liens entre cette période historique et le plastique – matière emblématique de la modernité –, interroge les formes anciennes et contemporaines de réclusion féminine, et explore la notion de malédiction comme outil critique.